"Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus que quelques années à vivre" (A. Einstein)

Une petite introduction

Depuis une trentaine d'années, les apiculteurs ont pu constater une mortalité inquiétante des abeilles dans de nombreux pays. Ainsi, certaines ruches peuvent perdre jusqu'aux trois quarts de leur population, sans explications. Les causes plausibles sont nombreuses ainsi que les questions quant aux conséquences de cette disparition.


Combien de temps les abeilles vont-elles survivre dans un environnement en dégradation ?


Trouverons-nous la véritable origine du problème? que se passerait-il si nos butineuses favorites devaient disparaître ?


La médiatisation du problème est-elle suffisante?


Autant d'interrogations auxquelles nous essayons de répondre; consultez nos articles et rubriques pour en savoir plus et vous informer de la situation actuelle!


N.d. R. : Les mots de couleur rouge dans les articles sont définis dans notre lexique, situé dans la partie gauche du blog.


dimanche 6 mars 2011

Des solutions contre la disparition des abeilles

     Il est bien aise de présenter le pourquoi du comment du syndrome d'effondrement des colonies, mais il faudrait en plus de ceci proposer des solutions afin d'enrayer cette disparition, causée en majorité par la vaporisation de produits de traitement des plantes.


     La solution la plus évidente est bien sur de limiter l'utilisation des pesticides, insecticides et fongicides sur les plantes, que ce soit les rosiers de son jardin ou une exploitation agricole de plusieurs hectares. Ces produits peuvent être utilisés raisonnablement : à l'heure d'aujourd'hui, les vaporisation des cultures sont trop récurrentes.


     Une deuxième solution serait de déplacer les cheptels apicoles en milieu urbain : Les pesticides y sont bien moins utilisés que dans les campagnes, et les insectes ravageurs ne sont presque pas présents : les espaces verts des villes seraient donc un milieu adéquat pour la besogne de nos butineuses. Bien sur, il existe la pollution des gaz d’échappements, mais le rejet de CO2 dans l'air n'a pas de grande conséquence pour les abeilles.


     En somme, il faudrait que agriculteurs et apiculteurs travaillent ensemble pour trouver un terrain d'entente; les pesticides permettent agriculteurs d'éviter de lourdes pertes de rendement, mais ces derniers ont impérativement besoin de la pollinisation pour pouvoir semer leurs plantes. Ainsi il faut trouver des doses d'insecticides relativement efficaces pour satisfaire les besoins des agriculteurs et qui resteraient assez faibles pour condamner les butineuses.


A.B.

1 commentaire:

Que saviez-vous de la disparition des abeilles avant avoir visité notre blog?